Bolivie  (3)
 Accueil  | Politique  | Economie  | Multimédia  | Société  | Pays+dossiers  | Flashs  | Titres  |Communiqués
Recherche personnalisée
Résultats officiels du référendum sur le gaz du 18 juillet 2004

Bolivie - gaz : les 5 questions du référendum polémique du président Mesa
LA PAZ, dimanche 18 juillet 2004 (LatinReporters.com) - L'hostilité de communautés indiennes et de syndicats ouvriers et paysans, ainsi que le manque de transparence des questions posées jettent le doute sur les conséquences du référendum  convoqué le président Carlos Mesa. Par ce référendum, quelque 4,4 millions d'électeurs boliviens (sur une population totale de 8,7 millions, dont 60% d'Indiens) devaient en principe déterminer dimanche la politique d'exploitation des gigantesques réserves de gaz du pays, le plus pauvre d'Amérique du Sud.

Culture mondiale de coca en baisse - Colombie, Pérou et Bolivie la monopolisent
NEW YORK, mardi 22 juin 2004 (LatinReporters.com / Centre de Nouvelles ONU) - Trois rapports concernant la Colombie, la Bolivie et le Pérou montrent une réduction de la culture de la coca a indiqué à New York le représentant de l'Agence de l'ONU contre la drogue et le crime (ONUDC). Ces trois pays latino-américains fournissent la quasi totalité de la production mondiale de coca, matière première de la cocaïne.

Le gaz pollue les relations du Chili avec l'Argentine et la Bolivie
BUENOS AIRES, vendredi 30 avril 2004 (LatinReporters.com) - En proie à une crise énergétique, l'Argentine réduit ses exportations de gaz naturel vitales pour le Chili. L'abondant gaz bolivien soulagera les Argentins, à la condition, imposée par La Paz, qu'ils ne revendent pas aux Chiliens un éventuel surplus. Ennemi historique de la Bolivie, le Chili est ainsi la victime d'une relation triangulaire polluée par le gaz. Le Pérou, l'Uruguay, le Brésil et le Venezuela sont impliqués à titres divers dans ce dossier révélateur des difficultés de l'intégration économique et politique en Amérique du Sud.

Libre-échange / Amérique latine-ZLEA: les Etats-Unis vont multiplier les traités bilatéraux
MIAMI, jeudi 20 novembre 2003 (LatinReporters.com) - Le représentant des Etats-Unis pour le Commerce, Robert Zoellick, a annoncé l'ouverture de négociations de traités bilatéraux de libre-échange avec la Colombie, le Pérou, l'Equateur et la Bolivie. Il a souligné les progrès de négociations similaires avec d'autres pays d'Amérique latine. M. Zoellick s'exprimait en marge et à la veille de la réunion, ce jeudi à Miami, des ministres ou responsables du Commerce des 34 pays des Amériques (sans Cuba) pour un nouveau round sur la future Zone de libre-échange des Amériques (ZLEA; ALCA en espagnol). La stratégie bilatérale de Washington déjoue les réticences, surtout brésiliennes, à l'égard de la ZLEA, dont le lancement est prévu pour 2005.

Bolivie - Nouveau gouvernement: deux Amérindiens, un général et des indépendants
LA PAZ, mardi 21 octobre 2003 (LatinReporters.com)- Des technocrates indépendants, deux autochtones amérindiens et un général forment le gouvernement bolivien présenté dimanche soir à La Paz par le nouveau président Carlos Mesa Gisbert. Pour la première fois dans l'histoire de la Bolivie, l'exécutif ne compte aucun ministre représentant un parti politique. La récente convulsion sociale appelée "guerre du gaz", qui a fait plus de 80 morts et provoqué la chute et l'exil de l'ex-président Gonzalo Sanchez de Lozada, a discrédité davantage les partis. Le leader autochtone Felipe Quispe, dirigeant du plus grand syndicat agricole bolivien, prétend que le retour au calme n'est que "tactique". Il n'exclut pas une prochaine "guerre civile".

Bolivie: les Amérindiens gagnent la "guerre du gaz", perdue par les Etats-Unis
LA PAZ / MADRID, samedi 18 octobre 2003 (LatinReporters.com) - Conclue ou pour le moins suspendue vendredi par la fuite à Miami du président bolivien Gonzalo Sanchez de Lozada, remplacé par le vice-président Carlos Mesa Gisbert, la "guerre du gaz" a duré 32 jours. Durement réprimée par l'armée, cette mobilisation ethnique et sociale contre une gestion néo-libérale du gaz naturel bolivien a fait plus de 80 morts et quelque 400 blessés. Renforcée notamment par les syndicats et les mineurs, la gauche ethnique des leaders amérindiens Evo Morales et Felipe Quispe a remporté une victoire qui fera date dans la lutte contre la globalisation. Principaux perdants à ce titre de la "guerre du gaz", les Etats-Unis, malgré les tueries, ont soutenu jusqu'au bout Sanchez de Lozada. L'Union européenne, en particulier l'Espagne, aussi.

Bolivie-guerre du gaz: référendum annoncé par le "pouvoir blanc" rejeté au nom du "sang des morts"
LA PAZ, jeudi 16 octobre 2003 (LatinReporters.com) - "Au nom du sang" des manifestants abattus par l'armée (plus de 80 selon une organisation humanitaire), l'opposition a rejeté le référendum proposé mercredi par le président bolivien Gonzalo Sanchez de Lozada pour tenter de désamorcer la "guerre du gaz" qui secoue la Bolivie depuis la mi-septembre. Dirigeants indiens et syndicaux affirment qu'ils continueront à paralyser le pays contre l'exportation de gaz naturel bolivien vers l'Amérique du Nord tant qu'ils n'auront pas obtenu la démission du chef de l'Etat. Ce dernier tente de ressouder ce que des observateurs appellent parfois le "pouvoir blanc", majoritaire au Parlement dans une Bolivie qui compte pourtant plus de 60% d'Indiens. Les manifestations antigouvernementales s'amplifiaient jeudi à La Paz.

"Guerre du gaz": la France "déconseille formellement de se rendre en Bolivie"
PARIS, mercredi 15 octobre 2003 (LatinReporters.com) - Alors que de diverses régions boliviennes des colonnes d'ouvriers, de mineurs et de paysans convergent ce mercredi vers La Paz pour y exiger la démission du président Gonzalo Sanchez de Lozada, qui réprime avec l'armée une crise sociale sans précédent ("la guerre du gaz" - plus de 70 morts en un mois selon le dernier bilan des organisations humanitaires locales), le ministère français des Affaires étrangères vient de "déconseiller formellement de se rendre en Bolivie". Il avertit du danger de "tirs à balles réelles et de l'usage de bâtons de dynamite".

Bolivie-guerre du gaz: malgré les tueries, les Etats-Unis appuient le président Sanchez de Lozada
LA PAZ / WASHINGTON, mardi 14 octobre 2003 (LatinReporters.com) - La crise bolivienne s'internationalise. En offrant lundi au président Gonzalo Sanchez de Lozada un soutien assorti d'un avertissement à l'opposition, Washington est en effet devenue partie prenante dans la "guerre du gaz" qui ensanglante depuis un mois la Bolivie. L'armée et la police continuent à réprimer durement les manifestations contre le projet d'exportation, via le Chili, de gaz naturel bolivien aux Etats-Unis et au Mexique. Grèves et émeutes paralysent la Paz et d'autres villes. Les organisations humanitaires dénombrent au moins 50 morts et près de 200 blessés. La démission de quatre ministres isole davantage le président Sanchez de Lozada, qui semble ne plus pouvoir compter que sur Washington et l'armée.

Bolivie: la "guerre du gaz" devient un emblème sanglant de lutte contre la globalisation
LA PAZ, lundi 13 octobre 2003 (LatinReporters.com) - Attisée par la pauvreté, l'ethnicité et le nationalisme, la "guerre du gaz" -nom donné aux mobilisations contre l'exportation future, via le Chili, de gaz naturel bolivien vers l'Amérique du Nord- devient sanglante. Elle acquiert un caractère emblématique en visant aussi la globalisation. En un mois, le conflit a fait, lors de heurts entre manifestants et force de l'ordre, au moins 14 morts et des dizaines de blessés, la majorité dans la ville d'El Alto, militarisée samedi. La troupe tente de lever les barrages routiers qui isolent La Paz, en proie aux pénuries. A cause des affrontements, tous les vols commerciaux à destination et au départ de son aéroport international ont été suspendus dimanche soir. Accusés de tentative de coup d'Etat, des opposants passent à la clandestinité.

La Bolivie menacée d'explosion par son gaz naturel
LA PAZ, jeudi 25 septembre 2003 (LatinReporters.com) - Depuis plusieurs jours, la ville de La Paz, siège du gouvernement bolivien, est pratiquement isolée du reste du pays par le blocus de routes organisé par la Confédération syndicale de travailleurs agricoles de l'Indien Felipe Quispe, ex-candidat à la présidence de la République. Parallèlement à leurs revendications contre la la marginalisation économique et sociale des populations autochtones, les protestataires se mobilisent contre le projet d'exportation de gaz naturel bolivien via le Chili et contre l'éventuelle adhésion de la Bolivie à la future Zone de libre-échange des Amériques (ZLEA ou, en espagnol, ALCA).

Bolivie: nouveau gouvernement après les affrontements qui ont fait 33 morts
LA PAZ, jeudi 20 février 2003 (latinreporters.com) - Après une semaine d'affrontements qui ont fait 33 morts, le président bolivien Gonzalo Sanchez de Lozada a annoncé mercredi la formation d'un nouveau gouvernement de 13 ministres au lieu de 18. L'austérité est le mot d'ordre du nouvel exécutif. C'est l'annonce, à la requête du Fonds monétaire international (FMI), d'un impôt de 12,5% sur les salaires de 750.000 fonctionnaires, dont les policiers, qui déclencha les violences. L'armée a réprimé durement les manifestations de policiers mutinés et de civils. Pour favoriser le retour au calme, le président Sanchez de Lozada a dû renoncer au nouvel impôt.

La Bolivie affronte une grave crise de gouvernabilité politique
LA PAZ, vendredi 14 février 2003 (Nueva Mayoria.com) - Les affrontements de La Paz lors d'une bataille rangée entre militaires et policiers -on dénombre déjà 27 morts, en majorité des manifestants civils- se produisent dans le contexte d'une crise sérieuse de gouvernabilité politique, aggravée par la crise économique. Recourir aux militaires pour contrôler la police bouleverse une tradition qui tendait à contrebalancer l'influence de l'armée.

Bolivie: le multimillionnaire Sanchez de Lozada s'assure la présidence
LA PAZ, samedi 27 juillet 2002 (latinreporters.com) - Le multimillionnaire libéral conservateur Gonzalo Sanchez de Lozada, président de la Bolivie de 1993 à 1997, devrait le redevenir le 6 août grâce à un accord politique conclu jeudi avec son éternel rival social-démocrate et également ex-président Jaime Paz Zamora. Les deux mandataires ont présenté un "Plan Bolivie", élaboré en commun pour combattre la pauvreté et la crise économique. Leur alliance a surpris. Elle devrait permettre à Gonzalo Sanchez de Lozada, vainqueur au suffrage universel du premier tour de l'élection présidentielle du 30 juin avec 22,46% des voix, de s'imposer à l'Indien d'extrême gauche Evo Morales lors du second tour indirect qui se jouera au Congrès national.

Le "cocalero" Evo Morales pourrait être le premier Indien président de la Bolivie
LA PAZ, mercredi 10 juillet 2002 (latinreporters.com) - A 42 ans, le paysan "cocalero" (producteur de coca) Evo Morales, Indien aymara d'extrême gauche frappé d'un veto américain, pourrait être le premier autochtone président de la Bolivie. Son score inattendu de 20,94% à l'élection présidentielle du 30 juin, dont les résultats sont enfin connus, le classe deuxième sur onze candidats, derrière les 22,46% de l'ex-président conservateur Gonzalo Sanchez de Lozada. Aucun des deux candidats les mieux classés n'ayant la majorité absolue, le Congrès bolivien les départagera début août. L'arbitre principal de ce second tour parlementaire sera la gauche sociale-démocrate.

Bolivie: le président sera élu par le Parlement lors d'un second tour indirect
LA PAZ, mardi 2 juillet 2002 (latinreporters.com) - Le prochain président de la Bolivie sera choisi avant le 6 août par le Parlement entre les deux candidats arrivés en tête des élections de dimanche, l'ex-président libéral conservateur Gonzalo Sanchez de Lozada et l'ex-militaire populiste de droite Manfred Reyes Villa. L'issue de ce second tour indirect, obligatoire faute de majorité absolue au premier tour, dépendra d'alliances que compliquera le succès relatif de l'Indien Evo Morales, un "cocalero" (producteur de coca, matière première de la cocaïne) frappé d'un veto prononcé par les Etats-Unis.

Bolivie: l'ambassadeur des Etats-Unis ne veut pas un président "cocalero"
LA PAZ, vendredi 28 juin 2002 (latinreporters.com) - Les candidats à l'élection présidentielle du 30 juin ont vivement critiqué la "pression intolérable" exercée par l'ambassadeur des Etats-Unis, Manuel Rocha, qui a demandé aux Boliviens de ne pas voter pour Evo Morales, candidat présidentiel d'origine autochtone et défenseur des "cocaleros", les paysans producteurs de coca. Ces derniers sont en majorité des Indiens. Les feuilles de la coca sont la matière première de la cocaïne.

Bolivie: du gaz (naturel) dans l'élection présidentielle
LA PAZ, mercredi 26 juin 2002 (latinreporters.com) - Les réserves boliviennes de gaz naturel, les plus vastes d'Amérique du Sud après celles du Venezuela, sont le pivot de la campagne des élections présidentielle et législatives du 30 juin. Les investissements pour exporter massivement le gaz ne seraient rentables qu'à partir de 2007, soit au terme du quinquennat du prochain président. Aussi tous les candidats prônent-ils l'accroissement du rôle de l'Etat dans l'économie et en particulier dans l'exploitation des hydrocarbures afin que la Bolivie, pays le plus pauvre d'Amérique du Sud, bénéficie plus tôt et davantage du pactole gazier. Grâce au gaz, la Bolivie rêve aussi de récupérer une fenêtre maritime sur le Pacifique.

Bolivie: atteint d'un cancer, le président Banzer va céder le pouvoir
LA PAZ, 27 juillet 2001 (latinreporters.com) - Le gouvernement bolivien a confirmé vendredi que le président Hugo Banzer, atteint d'un cancer au poumon et au foie, démissionnera le 6 août, date de la fête nationale. Le vice-président Jorge Quiroga, qui assume actuellement l'intérim, sera proclamé président le même jour. Général à la retraite âgé de 75 ans, Hugo Banzer est l'unique dictateur latino-américain des années 70 revenu au pouvoir grâce à une élection démocratique. Hospitalisé à Washington depuis le 1er juillet, ce militaire autoritaire fut toujours proche des Etats-Unis.

Bolivie : l’Eglise contre la politique de " coca zéro "
LA PAZ, 5 mai 2001 (latinreporters.com) - La révision de la Loi de la coca et des substances contrôlées a reçu vendredi l’appui du vice-président la Conférence épiscopale bolivienne, Mgr Jesus Juarez, évêque de la ville d’El Alto. Une révision de cette loi supposerait, comme le souhaitent des milliers de paysans, la fin de la politique de " coca zéro " soutenue par Washington.




Bolivie   1   2   3
VOIR AUSSI
Bolivie 1   2   3
MÉDIAS BOLIVIENS
PAYS
NOUS CONTACTER

  Accueil   |  Politique   |  Economie   |  Multimédia   |  Société   |  Pays+dossiers   |  Flashs   | Titres  | Forum 

LatinReporters.com - Amérique latine - Espagne